Sommaire
- Les douleurs de règles sous le signe de la bienveillance
- Règles douloureuses au travail : comment gérer ?
- Travail et règles : comment soulager le quotidien
- Les compléments alimentaires comme aide
- Le conseil Naturactive en santé naturelle
- Témoignages de femmes
Les douleurs des règles sous le signe de la bienveillance
Quand on parle de douleur des règles, on parle avant tout de douleur… En soi, quelle qu’elle soit, la douleur est toujours un motif de difficulté : il y a forcément des répercussions sur l’énergie, la concentration, la présence à l’instant, les interactions et les performances.
« Parler des règles douloureuses permet d’être entendue et de se sentir moins isolée. » nous explique le Dr Géraldine Delot, médecin gynécologue et sexologue. « Quand on communique le message suivant « je ne me sens pas bien, j’ai mal, j’ai des difficultés… », en face, toute personne un minimum bienveillante est en capacité de comprendre. »
Règles douloureuses au travail: comment gérer ?
« Mais la bienveillance ne doit pas venir que des autres, elle doit aussi s’appliquer à soi-même » précise le Dr Delot. « Pendant ses règles, il faut accepter, non de ne pas pouvoir travailler, mais de travailler de façon aménagée, en anticipant, en s’économisant, en s’adaptant tout simplement. En fait, il y a souvent des solutions, des petits arrangements à trouver avec son entourage et dont il ne faut pas se priver : faire une pause pour atténuer la douleur, décaler une réunion, traiter d’un sujet compliqué plus tard… C’est vrai qu’il peut être difficile de communiquer sur ce sujet au milieu d’un public d’hommes. On peut craindre que la douleur soit mal interprétée ou moquée. En fait, on se fait peut-être des idées, car finalement peu de gens sont insensibles à l’expression d’une douleur. »
Travail et règles : comment soulager le quotidien ?
Pour mieux vivre ces journées, vous pouvez suivre ces conseils d’hygiène de vie :
. Bien s’hydrater : 1,5 litre d’eau par jour.
. Manger de manière équilibrée en privilégiant les légumes et les fruits.
. Éviter les excitants et la consommation de tabac.
. Marcher 30 minutes dans un endroit calme et non pollué en respirant calmement et lentement.
. Porter des vêtements amples dans lesquels on se sent bien.
. Faire des massages du bas-ventre avec une huile végétale.
. Alléger si possible son emploi du temps : moins de réunions ou de déplacements, rentrer à la maison plus tôt que d’habitude…
Règles douloureuses et travail : les compléments alimentaires comme aide
La phytothérapie a toute sa place dans la prise en charge des douleurs de règles à condition de choisir des plantes à l’activité reconnue. Par exemple, la Grande camomille et l’Achillée millefeuille peuvent être associées car elles conjuguent parfaitement leurs effets (Naturactive Règles Douloureuses Bio en gélules). Pour les femmes qui ont un cycle régulier, il est important d’anticiper le premier jour des règles et de commencer la prise la veille. Pour celles qui ont un cycle plus irrégulier, il faut prendre la première gélule de plantes dès la survenue des règles, sans tarder.
Retrouvez les témoignages d’Inès, Lila et du Dr Géraldine Delot dans le podcast Histoires de Règles Douloureuses- épisode 3. A écouter aussi les épisodes 1, 2 et 4 : Règles douloureuses, on en parle ; Comment soulager les règles douloureuses ; Comment concilier sport et règles douloureuses.
Le conseil Naturactive en santé naturelle
Nouvelle formule aux actifs 100% d’origine naturelle et Bio
Naturactive Règles Douloureuses BIOJudicieuse association de deux extraits concentrés de plantes BIO : un extrait de Grande Camomille et un extrait d’Achillée millefeuille, apaisant les crampes abdominales et favorisant le confort menstruel, avec des effets perçus en moins d’une heure pour 93% des utilisatrices. (étude en conditions d’usage - 91 personnes - 1 à 3 gélules par jour). Conseil d’utilisation : 1 à 3 gélules par jour selon l’intensité de l’inconfort. 3 gélules peuvent être prises en même temps si nécessaire. Complément alimentaire. Boîte de 10 ou 30 gélules. En pharmacie. |
Témoignages de femmesInès 20 ans, étudiante en scénographie : « À partir du lycée, les douleurs des règles se sont intensifiées, avec des maux de tête, des crampes et surtout des malaises. Au final, c’était beaucoup de jours d’école loupés et une scolarité hachée. Les jours d’examens, j’essayais d’être présente, mais c’était impossible pour moi d’être concentrée et d’être au maximum de mes capacités. C’était difficile d’aller voir un professeur et de lui dire : si j’ai eu une mauvaise note, c’est à cause de mes règles… » |
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Lila 37 ans, chargée de communication, maman de 2 enfants : « Mes règles ont beaucoup impacté ma vie professionnelle. Je faisais mon possible pour aller au travail, mais la douleur me terrassait. Dès que je le pouvais, je rentrais chez moi. Lorsque j’étais obligée de faire une présentation devant des clients, c’était affreux. Il fallait que j’assure, je me cramponnais à la table, la main posée sur mon ventre… Une fois la présentation passée, je m’effondrais. Heureusement, mes responsables ont toujours été des femmes et comprenaient aisément la situation. Cela aurait été des hommes, j’aurais prétexté autre chose… » |
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Retrouvez les témoignages du Dr Géraldine Delot, d’Inès et de Lila dans le podcast Histoires de Règles Douloureuses - épisode 3.